samedi 13 juin 2015

Black Mojah visite la maison des esclaves à Gorée

             
Au large des côtes du Sénégal, en face de Dakar
La maison des esclaves daterait de 1776
Chaque cellule mesurait 2,60 m sur 2,60 m. On y entassait jusqu'à vingt personnes enchaînées en permanence et dans des conditions d'hygiène déplorables. C'est ainsi qu'une première épidémie de peste est partie de ce lieu en 1779. Les captifs n'étaient sortis de leur cellule qu'une fois par jour pour satisfaire à leurs besoins. De leur arrivée dans cette maison jusqu'à leur départ pour les colonies, il pouvait s'écouler trois mois."
Le 22 février 1992, le pape Jean-Paul II est venu à cette porte demander pardon à l'Afrique. Mais l'esclavage a-t-il disparu. Or, diamant, gaz, uranium... le continent africain comprend aujourd'hui des pays très riches qui continuent d'être pillés. Oui, la traite négrière se poursuit sous d'autres formes...."
On ressort différent d 'une telle visite ......les larmes coulent encore et c'est très émounant

BLACK MOJAH 



Dans une cellule 

Cellule des hommes 
Cellule des enfants .....




Inscrite depuis 1978 sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, l'île de Gorée perpétue le souvenir d'une tragédie trop longtemps occultée.
En décidant de proclamer le 23 août de chaque année "Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition", l'UNESCO a voulu rendre universel ce devoir de mémoire vis-à-vis d'un lieu hautement symbolique de l'histoire des peuples, et lui restituer la place qui doit être la sienne dans l'histoire de l'humanité. 

Koïchiro Matsuura





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